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14 juin 2007 4 14 /06 /juin /2007 13:28
Je vous aimais

Intro : solm   dom  fa7  solm  fa7  solm

solm   dom  fa7  solm  fa7  solm

1)

solm                       dom

Je vous aimais Florence,

Fa7                 solm

Je revois nos vacances,

                            Fa7

Notre première danse

                          solm

Et ce premier baiser.

                               dom

On sortait de l’enfance

    Fa7                 solm

J’avais un trac immense,

                                Fa7

Mais j’ai tenté ma chance :

                             solm

Je vous ai embrassée.

 

Refrain:

dom                         fa7

Il faut dire qu’à cet âge

                              solm

Le cœur est en rodage

                               Fa7        

Vous attendiez, je gage,

                                    solm

Beaucoup plus qu’un baiser

dom                         fa7

Je n’ai pas eu le courage

                                solm

D’oser vous faire outrage

                                 Fa7      

Quand j’y pense j’enrage :

                                 solm

Vous vous êtes envolée.

2)

Je vous aimais Armande

Notre audace était grande

Vos beaux yeux en amande

Brillaient de tant d’ardeur

Couchés sur l’herbe tendre

On n’a pas su attendre

On aurait pu entendre

Les battements de nos cœurs

Refrain

Il faut dire qu’à cet âge

Le cœur fait du tapage

On n’était pas très sage

On voulait tant s’aimer.

Mais quand la pluie d’orage

Mouilla votre visage,

Quand j’y pense j’enrage :

Vous vous êtes envolée.

 

3)

Je vous aimais Estelle

Que la vie est cruelle

Car vous êtes bien celle

Que j’aurais épousé.

Vous étiez la plus belle

De toutes ces demoiselles

Mais vous aviez des ailes

Et vous saviez voler.

Refrain

On avait encore l’âge

Où le cœur est volage,

Vous n’étiez pas très sage,

Je l’avais oublié,

Et un matin d’orage

Vous fîtes vos bagages.

Quand j’y pense j’enrage :

Vous vous êtes envolée.

4)

Je vous aimais Hortense

J’aimais votre prestance,

Je vous fis des avances,

Vous m’avez embrassé.

J’ai bien cru à ma chance,

J’aimais votre présence

De cette douce ambiance,

Vous vous êtes lassée.

Refrain :

Comme on n’avait plus l’âge

D’affronter les orages,

Vers la fin du voyage

On s’est laissé glisser.

Je n’ai pas eu le courage

De vous prendre en otage,

J’ai donc ouvert la cage :

Vous vous êtes envolée.

5)

Comme vous voyez Edwige

Le temps passe et m’afflige

Et ma vie se dirige

Vers de tristes années.

Il est bien tard me dis-je,

J’ai peur, mon cœur se fige,

Je vous en prie Edwige,

Laissez moi vous aimer

Refrain

Bien sûr je n’ai plus l’âge

De ces marivaudages,

J’ai atteint des rivages

Beaucoup mois tourmentés.

Laissons là les usages

Ne soyons pas trop sages

Et vivons sans nuage

Nos dernières années.

 

 

 

 

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14 juin 2007 4 14 /06 /juin /2007 10:24

Intro :

1)

Ré                                        la          

On frise la crise, on n’en peut plus

                    Sol                        ré

Faut trouver une planche de salut

Ré                                              la                                    

On court tout le temps et on s’agite

                 Sol                 ré

Et plus ça va, plus ça va vite.

                                               la

Le monde s’emballe ça va péter

                    Sol                      ré

S’il n’ya personne pour l’arrêter

                                                          La       

On est comme des derviches en transe

                 Sol             ré

Faudrait ralentir la cadence.

                                      

Refrain  :                           la

J’aimerais bien faire une pause

             Sol                       ré

Je ne demande pas grand chose :

                                             la                                          

Juste un petit coin pour camper

                   sol                   ré          

Où on pourrait s’aimer en paix.

 

2)

Ne nous regardons plus le nombril :

On est des chefs d’œuvres en péril.

Tout ce qu’on veut faire va de travers

A croire qu’on dort les yeux ouverts.

On croit toujours que ça va changer,

Qu’en poussant le monde va bouger,

On peut bien se faire des tours de reins

Et s’échiner: ça ne sert à rien !

 

Refrain

 

 

 

 

 

 

3)

Et puis alors, qu’est ce qu’on copule !

L’espèce humaine ça pullule.

Bientôt il n’y aura plus de place,

On va se marcher sur les godasses.

Faut qu’on se trouve une autre Terre,

Faudrait regarder dans l’univers,

Doit y avoir un coin quelque part

Où on pourrait vivre peinards.

 

Refrain

4)

Faudrait un petit monde sympa

Où les hommes ne s’entretuent pas,

Où y’aurait pas de religion

Et pas de délit d’opinion :

Un monde où on pourrait se parler

Sans qu’on finissent par s’engueuler,

Un monde où on se tiendrait la main

Sans avoir peur du lendemain.

 

Final :

Je voudrais un monde où on se repose

Je ne demande pas grand chose

Juste un petit coin pour camper

Où on pourra s’aimer en paix

Un monde où la vie sera rose

On n’a pas besoin de grand chose :

Juste un tout petit coin discret

Où on pourra s’aimer en paix.

 

 

 

 

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14 juin 2007 4 14 /06 /juin /2007 10:23

 

 

 

 

1)

La                                                       Ré

Les nuages ont rosi là bas vers l’horizon,

                          Mi                            La

Le soleil doucement enflamme l’océan,

                            Ré                           La

De ses derniers rayons il caresse Oléron

                       Mi                           La

Et l’île resplendit dans le soir descend.

          Ré                                                         La

Dans le port les bateaux dansent dans la lumière

                             Mi                              La

Et leur reflet dans l’eau est un enchantement,

                          Ré                              La

Au milieu de la nuit ils reprendront la mer,

                              Mi                                    La

Si le temps le veut bien, si les vents sont cléments.

Refrain :

          Ré

Mais qu’est ce que je fais là

                         La

Entre le ciel et l’eau.

                               Mi

Suis je bien encore moi

                             La

Au cœur de ce tableau,

                                  Ré

Quand entre chien et loup

                              La

Tous devient incertain,

                                Mi

Quand le jour est si doux

                          La

Et lentement s’éteint.

 

2)

La plage est désertée à cette heure tardive

Et seuls quelques pêcheurs ont suivi la marée.

La maison sur la dune a des couleurs plus vives

Et quelques goélands sont venus s’y poser.

Les vagues qui scintillent dans leurs derniers assauts

Se brisent sur le sable en nuages d’écume

D’où jaillissent en gerbes des vols de bécasseaux,

Un instant de magie : la mer qui se consume.

.

 

 

3)

En vol battu les mouettes filent vers les marais,

Où les blanches aigrettes font un ballet sur l’eau.

Survolant un troupeau, les ailes déployées,

Le héron lentement glisse vers les roseaux

Venant d’on ne sait où un cheval au galop,

Crinière en feu au vent, comme pris de folie,

Dans la fraîcheur du soir, semblant voler sur l’eau,

S’enfonce vers les bois où la nuit l’engloutit.

 

4)

On n’y voit plus très bien mais là dans la forêt

On aperçoit parfois comme une ombre furtive :

Un oiseau attardé, un lapin apeuré,

Un chat ou un renard, la nuit a ses convives.

Tous les chants se sont tus, seul le bruit de la mer

Vient pour nous rappeler qu’elle n’est jamais loin,

Et son chant de sirène, infini et pervers,

Jusque dans leur sommeil va troubler les marins.

 

Coda :

Je me retrouve là

La nuit vient de tomber

Je ne sens pas le froid

Je n’ose plus bouger.

Dans les parfums mêlés

De la mer et des dunes

Je me mets à rêver

Sous l’éclat de la lune..

 

 

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14 juin 2007 4 14 /06 /juin /2007 10:20

 

 


Intro : Do La m Sol Do

1)

do                                          la m

Je suis un mec pas fréquentable,

                              fa                         do

C’est du moins ce que pensent mes amis,

              fa                       sol

Car si je me tiens bien à table

              si 7                      sol

Ça se gâte quand vient la nuit :

                 do                   fa

Avec mon nez, avec ma gorge,

                      sol                do

Quand je m’allonge sur le dos,

                                            fa

Je fais plus de bruit qu’une forge,

              sol                            do

Et oui je ronfle, c’est mon défaut.

Refrain 1 :

                                           sol

Je n’y peux rien mais je regrette

                    fa                  do

De vous empêcher de dormir

                   fa                      sol

Je voudrais bien que ça s’arrête

                  si 7                      sol

Mais je ne sais comment guérir

Liaison : fa la m sol do

2)

S’il est des dormeurs qui ronronnent

Si gentiment que c’est touchant,

Moi hélas, que Dieu me pardonne,

Je suis du genre assourdissant :

Même les voisins peuvent m’entendre

Et les murs se mettent à trembler.

Quand je dors la terre pourrait se fendre,

Même en enfer, j’irais ronfler.

Refrain 2 :

Je n’y peux rien mais je regrette

Si votre patience est à bout

Mais pour arrêter la tempête

Il me faudrait dormir debout

 

 

3)

J’ai même dépensé des fortunes

Pour des produits miraculeux

Mais jamais, au clair de la lune,

Ça ne m’a rendu silencieux.

Si vous avez une recette,

On est des millions de clients,

Mais ne me faite pas la tête,

Je suis bruyant mais pas méchant.

Refrain 3 :

Je n’y peux rien mais je regrette

Quand je vous vois les yeux cernés

De bon matin avec une tête

A faire peur à un nouveau né.

 

4)

Mais vous qui dormez comme un ange,

D’un juste sommeil silencieux,

Prenez garde qu’il ne se change

En sommeil irrévérencieux,

Car il suffit de peu de choses

Pour que votre souffle angélique

La nuit ne se métamorphose

En vacarme apocalyptique.

Refrain 4 :

Allons ! ne me faites pas la tête

Quand, la nuit, je m’éveille parfois,

Si vous ronflez, ce n’est pas la fête,

Et à mon tour je ne dors pas.

 

Final :

Je suis un mec pas fréquentable

J’avais des femmes pour amies

Qui venaient partager ma table

Mais se sauvaient avant la nuit.

Maintenant j’ai trouvé l’âme sœur

Qui a un moteur comme le mien,

La nuit ensemble on ronfle en cœur,

On a même fait fuir les voisins (ter)

 

 

 

 

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14 juin 2007 4 14 /06 /juin /2007 10:19

 

  
Extrait de la vidéo du spectacle du 19 janvier 2007

 

 

Intro : La Ré Fa# Ré Si Mi Si Sol Do# La Do# Mi accord de Ré

1)

Ré                                                      La

L’hiver nous a livré ses dernières gelées

                                                       Ré

La bise du nord-est va encore souffler,

                                                                  Sol

On se couvre, on a froid et parfois on frissonne

                           Ré      La                Ré

Mais l’île se réchauffe et se pare de jaune :

                                                            Sol

Comme mille soleils qui éclatent soudain

                                                            Ré

Le mimosas fleurit au cœur de nos jardins,

                                                               La

Le forsythia flamboie, la jonquille apparaît,

                                                          Ré

Les ajoncs, les genêts éclairent le marais.

 

Refrain  :

Ré7                                                      Sol

La nature et le ciel enfin semblent sourire

                                                           Ré

L’hiver touche à sa fin, on a passé le pire

                                                                 La

Comme un ami posant sa main sur mon épaule

                                                                     Ré

Le soleil me rassure, son souffle chaud me frôle.

 

2)

Sur l’estran les bernaches, qu’on entend cancaner,

Attestent que l’hiver n’a pas abandonné,

Mais on voit tout là bas sur leurs nids haut perchés

Les cigognes accouplées préparer la nichée.

Au soleil les oiseaux entament leur parade,

Et le merle amoureux siffle sa sérénade.

Le matin au réveil un orchestre à mille becs

Nous dit s’il fera beau, si le temps sera sec.

Refrain

 

 

 

3)

Il est temps de sortir entre deux giboulées

Redresser au jardin la clôture écroulée,

Préparer les semis et retourner la terre,

Avant de les fleurir, préparer les parterres.

Sur les murs, sur les toits, on enlève la mousse.

On s’active, on nettoie, car déjà tout repousse.

Pour remettre de l’ordre on coupe, on taille, on traite

Et la maison a droit à sa grande toilette.

Refrain

4)

Tout là bas sur le port on s’active, on s’agite :

Déjà les restaurants font bouillir la marmite,

Dans le moindre recoin on repeint, on répare,

Tout va bientôt ouvrir, la saison se prépare.

Les maisons qui, l’hiver, étaient restées fermées

Vont enfin prendre vie et ouvrir leurs volets

Et puis un ciel superbe de luminosité

Baignera Oléron comme au plus bel été.

 

Refrain

 

Fin :

La                  Sol

C’est le printemps,

                                              Ré

Fin mars, malgré la pluie, le vent,

                                      La

Le soleil sourit plus souvent,

                            Ré

Déjà, c’est le printemps !

 

Sol               Ré          La                     Ré

      le printemps                    le printemps

Sol               Ré                 La                   Ré

     le printemps oh oh oh, oh     le printemps

 

 

 

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14 juin 2007 4 14 /06 /juin /2007 10:17

Intro : Do Sol Ré7 Sol

1)

Do                                            Sol

Pierre, Jean, Marie ou bien Manon

                                            Do

Vous qui n’avez pas eu de nom

       Ré7                           Sol

Qui n’avez été qu’un mirage

                Ré                 Sol

Entr’aperçu dans les nuages,

Fa                              Sol

J’aurais grandi à vos côtés

Fa           Mi             Lam

Si vous aviez pu exister

                                        Ré m

J’ai de la peine quand j’y pense,

                   Sol7                 Do

On n’a vraiment pas eu de chance.

 

2)

Vous mes deux sœurs et toi mon frère

Ce que tout seul je n’ai pu faire

A quatre nous l’aurions construit

A l’unisson et pour la vie.

On aurait même été complices

Pour qu’aucune fleur ne flétrisse

Au jardin de tous nos secrets

En scellant des serments sacrés

 

3)

Et pour éviter les embûches,

Pour qu’aucun de nous ne trébuche,

On se serait tenu la main

Pour marcher droit sur le chemin.

Nous aurions chanté à tue tête

Toutes nos joies comme une fête.

Tant de bonheurs restés en germe

Car vous n’êtes pas venus à terme.

 

 

4)

Avoir un frère ou une sœur

C’est un cadeau inestimable :

Partager sa part de bonheur

Comme on partage un pain à table,

Pouvoir avouer à sa sœur

Tous ses secrets inavouables,

Avec un frère avoir moins peur

Quand le destin est redoutable

 

5)

Et aujourd’hui sur mes vieux jours

J’aurais plein de morceaux d’amour

A assembler pièce par pièce

Pour mes neveux et pour mes nièces.

Vous Jean, Marie et toi Manon

Vous qui n’avez pas eu de nom

J’ai de la peine quand j’y pense :

 

On n’a vraiment pas eu de chance. (Bis)

 

 

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13 juin 2007 3 13 /06 /juin /2007 19:24

 

Extrait de l'album "Mon chemin"

Intro : la sol fa# mi ré do# si

Refrain :

si m               fa#

On a perdu la boule

si m                         fa#

Notre monde fout l’camp.

si m                         fa#

Nos vieux rêves s’écroulent.

si m   fa#          si m

Au secours ! Peter Pan !

Liaison : mi ré do# si la sol fa#

1)

fa#                                          si m

Nous n’irons plus au bois ma mie,

fa#                         si m

Les arbres sont coupés,

fa#                              si m

Et à sa place on a construit

fa#                            si m

Un grand super marché.

mi m                       si m

La haut sur la montagne

mi m                          si m

Il y avait un beau chalet

mi m                        si m

Pardon ma pauvre Jeanne,

                  fa#               si m

On l’a vendu à des Anglais.

ré                          la

Les trois petits cochons

ré                              la

Sont devenus millionnaires

ré                          la

En vendant des maisons

     sol                           fa#

De paille au prix de la pierre.

 

Refrain.

2)

En passant par la Lorraine

J’ai rencontré trois chinois

Qui venaient voler, dondaine,

Ton boulot Papa.

 

Les sept nains font grise mine

C’est le repos forcé :

On a fermé les mines

Et Blanche Neige a divorcé.

 

Boucles d’Or est au chaud

Dans la maison des ours :

Elle a vendu leur peau

Et tout placé en bourse.

 

Refrain

 

 

3)

Les p’tits bateaux qui vont sur l’eau

Sont souvent chargés de pétrole

Et quand ils coulent c’est pas beau :

Les oiseaux meurent et c’est pas drôle.

 

A la claire fontaine

J’ai voulu me baigner

Mais la source vilaine

A cessé de couler.

 

Il pleut, il pleut bergère

Va rentrer tes moutons.

Quand gonflent les rivières

Elles emportent les maisons.

 

4)

La belle au bois dormant

Vieillit dans son château

Et son prince charmant

N’est rien qu’un gigolo.

 

Sœur Anne sur sa tour

Se désole à mourir

Elle attendait l’amour

Mais ne voit rien venir

 

Le petit chaperon si sage

S’est fait attaquer dans le bois

Par un loubard de passage

Plus féroce qu’un loup, crois moi.

 

Refrain

 

Final :

Cendrillon à minuit

N’est toujours pas rentrée

A la rave partie

Elle s’est défoncée

 

Et le petit poucet

Est un enfant martyr

Qu’un ogre détraqué

Consacre à son plaisir

 

Peter Pan ! C’est certain

On est devenu fous

On ne respecte rien

Et on abîme tout

Dis à la fée Clochette

Ton amie de toujours

Qu’elle prenne sa baguette

Et réveille l’amour.

Dis à la fée Clochette

Ton amie de toujours

Qu’elle prenne sa baguette

Et nous rende l’amour



 

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13 juin 2007 3 13 /06 /juin /2007 18:22

Intro : Lam Lam rém lam mi7 mi7 lam lam(2 fois)

1)

lam                              rém          lam       

L’amour qui n’est pas très regardant

Mi7                                     lam

A lancé ses feux les plus ardents

lam                  rém              lam                                    

Sur les cœurs pleins d’innocence

Mi7                                 lam

De deux enfants sans défense.

                                              rém

Ils n’ont pas encore dix huit ans

                                             lam

Ils ont peur de ce qui les attend

Mi7                           lam                                    

Ils ont des visages d’anges

Mi7                         lam

Notre regard les dérange

rém                                         lam

Dans la foule ils aiment s’isoler

rém                                            lam 

Dans le bruit ils aiment se saouler

rém                                     lam

Leur cœur est plein d’espérance

Mi7                              lam       

Ils croient si fort à la chance.

.

 

2)

Leurs regards viennent de se croiser

Ils se fixent et n’osent plus bouger.

Dans la foule qui gronde

Ils sont tout seuls au monde.

Ils ne connaissent pas bien encore

Ce trouble qui envahit leur corps.

Cet amour qui prend naissance

C’est pour eux un choc immense.

Leurs deux mains viennent de se lier,

Ils ne pourront jamais oublier

Cette émotion intense

Qui les broie sans nuance.

 

 

 

 

 

 

 

3)

Ils ne se sont même pas parlé.

Main dans la main ils s’en sont allés.

Lentement ils avancent

Vers la piste de danse.

Tendrement ils se sont enlacés.

Doucement se sont mis à danser.

En se laissant bercer,

Ils se sont embrassés.

Amoureux, ils se serrent si fort

Qu’on ne voit déjà plus qu’un seul corps.

Dans un sublime accord

Qui tourne et tourbillonne encore.

4)

Passants s’il arrivait par hasard

Que vos pas croisent les leurs un soir,

Ne vous moquez pas de

Ces enfants amoureux.

D’ailleurs ils ne vous entendraient pas,

Il n’est même pas sûr qu’ils vous voient.

Ils respirent l’un pour l’autre,

Leur monde n’est pas le notre.

Ils se sont fait un petit monde à eux,

Une planète où on ne vit qu’à deux,

Où deux vies peuvent se fondre

Et deux ombres se confondre.

 

C’est un monde à nul autre pareil

Un monde où il fait toujours soleil

Même quand il pleut dehors

Il suffit de s’aimer fort

Et si on s’aime assez fort

Tout s’illumine alors

Et c’est la valse des corps

Qui tournent et tourbillonnent encore

Qui tournent et tourbillonnent encore

Qui tournent et tourbillonnent encore …

 

 

 

 

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13 juin 2007 3 13 /06 /juin /2007 18:19

Intro : La Ré Mi La Fa#m Sibm.Mi7.La

Refrain 1 :

La                                                  Ré

Ô mon dieu, mon dieu qu’elle est belle

               Mi                      La

J’aimerai pouvoir l’embrasser

      Fa#m                      Sim

Lui dire que je n’aime qu’elle

                 Mi7             La

Passer ma vie à ses côtés.

1)

    Do#                           Ré

Je veux toujours la voir sourire

                    Mi                        La

Et dans ses grands yeux me noyer

    Ré                                 Mi

Je crois que rien ne serait pire

                                             La

Pour moi que de la voir pleurer.

         Do#                       Ré

Mais si elle avait du chagrin

                Mi                      La

Je la prendrais tout contre moi,

      Ré                                 Mi

Lui tiendrais doucement la main

                                  La

Et la consolerais tout bas.

Refrain2 :

La                                     Ré

Je donnerais ma vie pour elle

          Mi                      La

Si elle me tendais les bras

            Fa#m                              Sim

Mais je suis laid plus qu’elle est belle

               Mi7                    La

Et elle ne me voit même pas.

Refrain1

2)

Je voudrais parfois être un chêne

De mon ombre la protéger,

Ou bien, pour alléger sa peine

Etre un p’tit mouchoir de papier,

Etre l’oiseau dont le ramage

Dés le matin la charmerait

Ou ce souffle sur son visage

Tendre et léger comme un baiser.

Refrain2

Refrain1

3)

Chaque jour qui passe j’enrage

De n’avoir pas su lui parler,

Mais un jour j’aurai le courage,

Même en tremblant, de l’aborder

Je lui dirai des mots si tendres

Lui tiendrai de si beaux discours

Qu’elle ne voudra plus entendre

Aucune autre chanson d’amour.

Final :

La                                 Ré

Le soleil brillera pour elle

               Mi                  La

Le ciel enfin s’éclaircira

         Fa#m                            Sim

C’est pour moi qu’elle sera belle

                 Mi7                La

A moi qu’elle tendra les bras.

La                                                  Ré

Ô mon dieu, mon dieu qu’elle est belle

               Mi                      La

Je pourrai enfin l’embrasser

      Fa#m                      Sim

Lui dire que je n’aime qu’elle

                 Mi7             La

Passer ma vie à ses côtés.

 

 

 

 

 

 

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13 juin 2007 3 13 /06 /juin /2007 18:16

 

 

 

 

 

 

 

 

1)

Il y avait dans l’air

Un « je ne sais quoi »

Qui donnait de la joie aux passants

C’était un doux soir d’été

Et du bonheur flottait

Dans le soleil couchant

Tout était beau, sentait bon,

Comme tes cheveux blonds

Qui volaient dans le vent

On marchait sur le même chemin

Et tout d’un coup nos mains

S’unissaient tendrement.

On s’était à peine parlé

Tu m’avais regardé

Et c’était suffisant

J’avais perçu dans tes yeux

Le reflet merveilleux

De notre amour naissant.

On marchait main dans la main

On était des gamins

Mais on se sentait grand.

On ne savait où aller

Mais qu’importe on marchait

Pour prolonger le temps

Puis ta bouche sur ma joue

A déposé un tout

Petit baiser brûlant

Et tu m’as lâché la main

Tu m’as dit « à demain »

Et c’était déchirant.

 

 

 

2)

Je crois n’avoir pas dormi

Ton baiser dans la nuit

M’a poursuivi longtemps

Lorsque le jour s’est levé

J’étais très énervé

J’étais si impatient

Je suis parti comme un fou

A notre rendez-vous

J’avais le cœur battant.

Je t’ai attendu inquiet

Avais tu oublié ?

J’en était tout tremblant

Puis je t’ai vue arriver

Mon ciel s’est éclairé

C’était éblouissant.

Quand tu m’as tendu tes lèvres

C’était comme dans un rêve,

C’était moi Don Juan.

On est partis vers la plage

Je marchais sur un nuage

J’étais comme un géant

Et on s’est juré alors

« Qu’à la vie à la mort

On s’aimerait tout le temps ».

Il y avait dans l’air

Un « je ne sais quoi »

Qui donnait du bonheur aux passants.

J’ai gardé au fond d’mon cœur

Un peu de ce bonheur

De notre amour d’enfants.

 

 

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